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jeudi 30 juin 2011

Conférence de Presse du jeudi 30 juin 2011


FINANCES COMMUNALES : LES CHIFFRES VALENT MIEUX QUE LES DISCOURS

M. Rousseau qui n’apprécie pas de se faire épingler par le rapport de la Chambre régionale des comptes pour sa gestion calamiteuse des années 2008-2009, a le culot de prétendre que tout est de la faute de la précédente municipalité.

Trois séries de chiffres suffisent pourtant  à rétablir la réalité :

-         L’endettement :
. fin 2007, nous étions à environ 32 millions d’€ de dette (après avoir progressivement réduit l’endettement de la ville qui était en 1995, de 37 millions en euros constants, lorsque nous sommes arrivés à la mairie).
. Fin 2010, après seulement 3 ans de gestion Rousseau, l’endettement approche les 36 millions d’€.


-         Les impôts :
Nous avions gelé la fiscalité pour ne pas pénaliser les Bergeracois les plus modestes qui subissent durement toute augmentation de la taxe d’habitation ou de foncier bâti.
La nouvelle municipalité a augmenté les impôts de près de 10 % en 2009.

-         L’autofinancement net :
En 2007, l’autofinancement net était de – 900.000 €, car pour réduire l’endettement, nous supportions une annuité de remboursement de 3,5 millions d’€.
En 2008, la gestion désastreuse de la première année Rousseau, a fait plonger l’autofinancement net à – 2,5 millions d’euros. Contrairement à ce que prétend M. Rousseau, le budget 2008 n’était pas voté lorsqu’il est arrivé à la mairie. C’est lui et ses amis qui l’ont complètement bouleversé après avoir limogé le directeur général des services et la directrice des affaires financières.
En 2010, après l’augmentation des impôts de 2009, après les multiples cessions d’actifs de la Ville et après une renégociation irresponsable de la dette qui renvoie les remboursements à après 2014, l’autofinancement net est de - 0,2 millions d’euros.
Si nous avions appliqué en 2007, la même annuité de remboursement artificielle qu’en 2010, soit – 2,5 millions d’€, nous aurions eu en 2007, un autofinancement net de + 0,1 million d’€. Avec une augmentation d’impôts de 10 %, nous aurions eu un autofinancement net de 1,6 millions d’€.
C’est dire que malgré toutes les facilités immédiates de gestion qu’elle s’est donné au détriment de l’avenir et au détriment des Bergeracois, la municipalité Rousseau n’a même pas été capable de revenir à l’équilibre.
 Daniel Garrigue,
Adib Benfeddoul,
Liliane Brandely,
Elisabeth Capponi,
Marie-Claude Courbin,
Christophe Geneste,
Marc Léturgie,
Christophe Rousseau.


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